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Barbara Köhler. La femme de personne
Oswald De Andrade. Anthropophagie, crise, utopies
Eeva-Liisa Manner. Voiliers, fuyez à voiles légères + Les eaux mortes
Juana Dolores. Bijuteria
Michel Surya. L’excès, et cetera (Ritournelle)
Muriel Pic, Anne Weber. Petit atlas des pleurs
Wolfgang Hilbig. Vieille écorcherie
Miyó Vestrini. Grenade dans la bouche
Peter Kurzeck. En invité
Philippe Blanchon. Rives de goudron (Fugues)
Barbara Köhler. Roulette allemande
Amandine André. Aberrants & dinosaures
Juliette Riedler. 7 femmes en scène
Hélène Cixous, Cécile Wajsbrot. Lettres dans la forêt
Alexandre Curlet. Butterfield
Louis Zukofsky. Arise, Arise
Alexis Lussier. L’Obscur objet d’un film
Michel Surya. Le Monde des amants (L’Éternel retour)
Jean-Paul Iommi-Amunatégui. La Tradition des larmes
Barbara Köhler. Blue Box
Michel Deguy. La CommaisonJack London. Monter un feu
Miyó Vestrini
Traduction Clara Briceño Zappacosta
16 EUR
978-2-493333-16-2
130 x 198 mm
128 pages
La vie de Miyó Vestrini, née à Nîmes en 1938, tôt immigrée au Venezuela et suicidée en 1991, est une révolution.
Un mouvement qui s’ouvre, s’accomplit et se clôt dans la détonation, engageant le corps et l’œuvre que ce livre, une anthologie, tente de traverser en lui conservant son intonation particulière : brièveté, netteté, gravité. Contemporaine des avant-gardes artistiques vénézuéliennes, la poésie de Miyó Vestrini, sèche et destructrice, ironique et délicate, est à la mesure d’une existence, de ses appronfondissements (le féminisme, l’amour et les amitiés politiques) et de ses révoltes (l’esseulement, le suicide et les deuils).
Grenade dans la bouche est la première traduction de Miyó Vestrini en français. Livre-vie parcourant trente ans d’écriture, il retrouve la variété des situations ou des scènes d’écriture de « la
Sylvia Plath vénézuélienne ».
Un mouvement qui s’ouvre, s’accomplit et se clôt dans la détonation, engageant le corps et l’œuvre que ce livre, une anthologie, tente de traverser en lui conservant son intonation particulière : brièveté, netteté, gravité. Contemporaine des avant-gardes artistiques vénézuéliennes, la poésie de Miyó Vestrini, sèche et destructrice, ironique et délicate, est à la mesure d’une existence, de ses appronfondissements (le féminisme, l’amour et les amitiés politiques) et de ses révoltes (l’esseulement, le suicide et les deuils).
Grenade dans la bouche est la première traduction de Miyó Vestrini en français. Livre-vie parcourant trente ans d’écriture, il retrouve la variété des situations ou des scènes d’écriture de « la
Sylvia Plath vénézuélienne ».