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Barbara Köhler. La femme de personne
Oswald De Andrade. Anthropophagie, crise, utopies
Eeva-Liisa Manner. Voiliers, fuyez à voiles légères + Les eaux mortes
Juana Dolores. Bijuteria
Michel Surya. L’excès, et cetera (Ritournelle)
Muriel Pic, Anne Weber. Petit atlas des pleurs
Wolfgang Hilbig. Vieille écorcherie
Miyó Vestrini. Grenade dans la bouche
Peter Kurzeck. En invité
Philippe Blanchon. Rives de goudron (Fugues)
Barbara Köhler. Roulette allemande
Amandine André. Aberrants & dinosaures
Juliette Riedler. 7 femmes en scène
Hélène Cixous, Cécile Wajsbrot. Lettres dans la forêt
Alexandre Curlet. Butterfield
Louis Zukofsky. Arise, Arise
Alexis Lussier. L’Obscur objet d’un film
Michel Surya. Le Monde des amants (L’Éternel retour)
Jean-Paul Iommi-Amunatégui. La Tradition des larmes
Barbara Köhler. Blue Box
Michel Deguy. La CommaisonJack London. Monter un feu
Jean Genet et les images de cinéma
Alexis Lussier
22 EUR
978-2-493333-05-6
140 x 205 mm
215 pages
En 1950, Jean Genet tourne clandestinement Un chant d’amour. Une œuvre interdite de projection durant vingt-cinq ans, et que l’on dirait hantée par un objet incertain, enfoui dans le film lui-même. Un objet de poésie, mais rien que filmique.
Ce livre propose de penser la secrète cohérence du problème du cinéma dans l’œuvre de Genet. Le cinéma en tant qu’il trace une limite, impose autre chose que l’écriture. C’est dire alors sa singularité, mais aussi sa valeur d’étrangeté pour l’auteur du Miracle de la rose. C’est que Genet n’a jamais regardé le cinéma sans ambivalences ni contradictions. Mais loin de vouloir ici les résoudre, il s’agit plutôt de les aggraver, pour en faire le point sensible d’une poétique d’ensemble.
Ce livre propose de penser la secrète cohérence du problème du cinéma dans l’œuvre de Genet. Le cinéma en tant qu’il trace une limite, impose autre chose que l’écriture. C’est dire alors sa singularité, mais aussi sa valeur d’étrangeté pour l’auteur du Miracle de la rose. C’est que Genet n’a jamais regardé le cinéma sans ambivalences ni contradictions. Mais loin de vouloir ici les résoudre, il s’agit plutôt de les aggraver, pour en faire le point sensible d’une poétique d’ensemble.