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Barbara Köhler. La femme de personne
Oswald De Andrade. Anthropophagie, crise, utopies
Eeva-Liisa Manner. Voiliers, fuyez à voiles légères + Les eaux mortes
Juana Dolores. Bijuteria
Michel Surya. L’excès, et cetera (Ritournelle)
Muriel Pic, Anne Weber. Petit atlas des pleurs
Wolfgang Hilbig. Vieille écorcherie
Miyó Vestrini. Grenade dans la bouche
Peter Kurzeck. En invité
Philippe Blanchon. Rives de goudron (Fugues)
Barbara Köhler. Roulette allemande
Amandine André. Aberrants & dinosaures
Juliette Riedler. 7 femmes en scène
Hélène Cixous, Cécile Wajsbrot. Lettres dans la forêt
Alexandre Curlet. Butterfield
Louis Zukofsky. Arise, Arise
Alexis Lussier. L’Obscur objet d’un film
Michel Surya. Le Monde des amants (L’Éternel retour)
Jean-Paul Iommi-Amunatégui. La Tradition des larmes
Barbara Köhler. Blue Box
Michel Deguy. La CommaisonJack London. Monter un feu
Les eaux mortes
Eeva-Liisa Manner
Traduction Aleksi Barrière
18 EUR
978-2-493333-17-9
115 x 175 mm
175 pages
Ce sont les derniers mots. Voici ensemble les deux derniers recueils de la poétesse finlandaise EevaLiisa Manner, dont l’œuvre s’aperçoit ici de façon inédite en langue française, à l’horizon fuyant de son propre achèvement.
Infinie poésie des temps de neige, refusée matériellement à toute éternité et relancée à chaque stase, à chaque givre, à chaque saison. Ce sont les sols, les lacs, les êtres, les morts, les morceaux de réel et de rêves dits dans la langue natale, le finnois, puis exposés progressivement, intimement, aux langues sans bords de la poésie mondiale (Caváfis, Pound, Tranströmer...).
Ici étranger et ailleurs familier, d’un même mouvement géographique qui fait aller la plus légère des voiles sur la plus morte des eaux, la beauté n’y est pas sans la brisure qu’elle appelle. Le rêve intime d’un paysage où connaitre le bonheur sans le cauchemar historique. La littérature sans la question politique qu’elle ne cesse pas d’être.
Autrice de poèmes non seulement mais de romans, de théâtre, critique et essayiste, traductrice, Eeva-Liisa Manner est née en 1921 à Helsinki et morte en 1995 à Tampere.
Infinie poésie des temps de neige, refusée matériellement à toute éternité et relancée à chaque stase, à chaque givre, à chaque saison. Ce sont les sols, les lacs, les êtres, les morts, les morceaux de réel et de rêves dits dans la langue natale, le finnois, puis exposés progressivement, intimement, aux langues sans bords de la poésie mondiale (Caváfis, Pound, Tranströmer...).
Ici étranger et ailleurs familier, d’un même mouvement géographique qui fait aller la plus légère des voiles sur la plus morte des eaux, la beauté n’y est pas sans la brisure qu’elle appelle. Le rêve intime d’un paysage où connaitre le bonheur sans le cauchemar historique. La littérature sans la question politique qu’elle ne cesse pas d’être.
Autrice de poèmes non seulement mais de romans, de théâtre, critique et essayiste, traductrice, Eeva-Liisa Manner est née en 1921 à Helsinki et morte en 1995 à Tampere.